La Voyeuse

Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 7 ans

Ça frappe à la porte. La spectatrice que j’attendais est arrivée et s’est annoncée. Je parcours le couloir menant à l’entrée pour ouvrir la porte. Je l’accueil accoutré d’un peignoir. Elle me regarde et me fait un grand sourire timide. Je l’invite à me suivre mais elle aperçoit déjà son poste d’observation au bout du couloir. Une chaise placée dos à un coin. Elle me suit d’un pas timide et hésitant, comme si elle avait des doutes si elle allait de l’avant avec son « projet ». Je la rassure en lui disant que tel qu’entendu, on va l’ignorer comme si elle faisait partie des meubles et que rien de ce qu’elle considère offensant ne sera fait ou dit.

Elle continue à me suivre et prend place dans la chaise. Pour aider à son confort je lui explique que je peux tirer un rideau presque transparent lorsque l’on est près du matériel mais translucide lorsqu’on y est loin, que tout ce que l’on peut distinguer est une silhouette sombre et flou. Elle aime l’idée et accepte le rideau. J’installe donc un paravent à trois sections avec ce dit matériel tendu par le cadre du paravent.

Je m’éloigne d’elle et la laisse se mettre à son aise. Elle retire son manteau qu’elle accroche au dossier de sa chaise, capitonné de cuir, et elle se cherche une position confortable sur son siège.

De mon côté, il y a un lit et différents meubles BDSM disposés dans la grande salle de séjour où nous nous trouvions pour la séance que je m’apprête à faire avec une jeune soumise. Je continue les préparatifs avant qu’elle arrive à l’heure fixée, soit 15 minutes après l’arrivée de notre invitée. J’étale sur le lit quelques cordes bien enroulées, des martinets de différents formats, une cravache, des épingles à linge et autres accessoires que je peux utiliser selon mon inspiration.

On frappe à la porte à nouveau, ce qui a fait un peu sursauter mon invitée. Visiblement elle est nerveuse ou bien fébrile de vivre son fantasme. Fantasme que j’ai trouvé intéressant étant moi-même exhibitionniste. J’en ai pris connaissance en parcourant un soir tard des petites annonces pour rencontres Parfois lire les demandes et fantasmes des gens m’émoustillent en m’imaginant des scènes. Mais aussi il arrive que je réponde à des annonces de femmes qui recherchent à vivre des sensations fortes et nouvelles. Mais celle-ci m’est tombée dans l’œil. Je n’ai pas répondu à l’annonce tout de suite car je croyais qu’elle voulait simplement voir un couple faire l’amour. Mais je me suis dit pourquoi ne pas lui proposer une de mes séances. Donc deux jours plus tard je lui réponds par courriel en lui disant ce que je fais pour savoir si ça l’intéresse. La réponse le lendemain en demandait plus de détails. Il y a eu un échange de plusieurs messages pour me dire que ça l’intéressait au plus haut point! Les courriels suivants étaient pour discuter des conditions sur la séance et sur le fait qu’elle doit être ignorée, comme si elle n’était pas là.

Et ainsi donc elle est en place et ma soumise est arrivée. Je lui ouvre la porte, elle entre et elle regarde droit devant sans me regarder. Aussitôt la porte refermée derrière elle, elle se met d’abord à genoux pour ensuite s’accroupir en position de soumission, mains étendues vers l’avant, tête baissée.

– Mon bon Maître!

– Redresses-toi!

Elle se redresse sur ses genoux, fesses posées sur ses talons, gardant le regard droit devant… De la poche droite de mon peignoir je sors un collier en cuir assez large pour couvrir la majeure partie de son cou, que je tends ouvert devant ses yeux pour lui signifier ma prise de possession. Puis je le lui enroule autour de son cou, je pose ses cheveux longs et soyeux sur son épaule pour dégager l’arrière pour que je puisse attacher la petite sangle qui ressert le collier autour de son cou. Puis de ma poche gauche je sors une laisse en chaîne chromée dont je fixe le crochet au seul anneau qui se trouve à l’avant.

– Suis-moi petite chienne.

Elle se met à quatre pattes et me suis lentement jusque dans l’appartement. Je marche devant elle en tenant une tension constante sur la laisse. Puis au bord du lit je lui indique d’y monter en tirant la laisse dans la direction à suivre. Elle y grimpe et continue de garder la position à quatre pattes sur le lit en se retournant vers moi.

– À genoux maintenant!

Elle se positionne redressée sur ses genoux, fesses posées sur ses talons.

Je prends deux paires de bracelets en cuir que je lui fixe aux poignets fermement mais pas trop serré au moyen des doubles sangles qu’elles sont munies pour donner une tension uniforme sur toute la largeur du bracelet. Je fixe l’autre pair à ses chevilles. Puis je lui fixe les bracelets des poignets ensemble dans son dos avec un crochet double qui se fixe après les anneaux de métal des bracelets pour servir de menottes.

– Une petite chienne ne peut être vêtue en ma présence!

Je sors un canif, agrippe sa blouse et je fais sauter lentement, un après l’autre à partir du bas les boutons un à un, avec la lame, en prenant bien soin de regarder sa réaction à chaque fois.

Elle regarde devant elle mais me jette des regards de temps à autre d’un air craintif mais aussi de désir que je la prenne tout en aillant une respiration nerveuse mais retenue pour le camoufler. Sa blouse est maintenant entre ouverte que je fais passer par-dessus ses épaules. Il est dommage que j’endommage son magnifique soutien-gorge blanc en dentelle, mais elle l’a mis. Elle savait qu’elle devait ne pas en porter. Elle a donc fait exprès pour me donner plus de fil à retordre. Elle connaît en plus mon goût pour la lingerie fine, elle voulait jouer avec mes sentiments? Mais je ne me mettrai pas à perdre du temps pour le lui retirer délicatement! Je passe la lame en dessous de la première bretelle et tire d’un coup pour la couper d’un trait, je glisse doucement la pointe de la lame sur son torse jusqu’à la à la deuxième pour à son faire subir le même sort. Je glisse ensuite un doigt dans le bout d’étoffe qui tient les deux bonnets ensemble, je glisse doucement la lame et en regardant droit dans ses yeux, je tire et coupe le soutien restant. Au relâchement, elle fait un petit son de surprise. Mais pas seulement elle, celle qui nous épiait aussi.

Je tire sur le soutien-gorge pour le lui glisser dans le dos et le lance violemment sur le sol pour signifier mon mécontentement. Je prends une paire de ciseaux, j’agrippe la blouse près du col et tout en la fixant dans les yeux je fais une entaille jusqu’à passé la couture de l’épaule et ce de chaque côté. Puis je pose les ciseaux et d’un mouvement sec je déchire la manche sur toute la longueur jusqu’au poignet. Sa tension montait… Un peu de sueur froide miroitait sur son front, sa respiration remplie de nervosité se faisait plus intense malgré elle.

Elle a eu tout de même la sagesse de mettre une jupe dont la fermeture éclair faisait toute la hauteur, ce qui est plus facile à retirer sans avoir à la déchirer ou la faire lever debout ou coucher pour la lui ôter.

Une fois l’étoffe retiré, on peut voir qu’elle porte en dessous une magnifique culotte brésilienne blanche en dentelle qui laisse voir beaucoup de peau dans les minuscules ouvertures entre les motifs de la dentelle. Ça me crève le cœur de la lui détruire. Elle savait bien que ça me plairait tout de même la voir porter cette lingerie raffinée. Je décide de lui donner un sursis en le lui laissant…

Je lui agrippe solidement les cheveux de par derrière la tête, la force à se pencher et lui plaque une joue contre le matelas. Rapidement je relâche ses pour lui mettre ma main contre sa mâchoire et sa jour pour lui tenir la tête bien enfoncé comme un vulgaire criminel qui se fait maîtriser pendant une arrestation.

– Tu as sciemment désobéi aux consignes. Ça ne peut rester impuni!

De mon autre main je dégage ses fesses du délicat tissu qui les recouvrent à moitié pour l’amener dans sa raie et puis tirer dessus un peu pour qu’elle sente la tension sur sa vulve avant de le lui caresser avec mon majeur en le glissant sur toute la longueur de sa fente juste pour l’agacer. Tout en étant à genoux, je la fais retourner dos à notre espionne de ce moment, lui pousse la tête contre le matelas. Elle a les fesses bien relevées, dos arqué et joue contre le matelas. Je suis sûr que ma spectatrice a une vue des premières loges de son derrière dénudé dont un étoffe blanc et humidifié recouvre sa chatte.

Je vois accroché au mur la ceinture de cuir large et assouplie de par tout le travail qu’elle a fait depuis que je l’ai. Un fort symbole de punition paternelle que j’aime utiliser pour réprimander. Je la décroche et je la plie en deux, donne quelques petits coups dans ma main pour qu’elles entendent le claquement des lanières.

J’imagine ma spectatrice plus nerveuse que celle qui recevra les coups. Ce qui me fait sourire en coin. Je m’élance de façon retenue pour regarder l’effet de l’impact sur la fesse. La chair encaisse le double impact de chacune des lanières sans qu’elle bronche. Elle sait très bien que ce n’est qu’une répétition, que le pire est à venir! Je m’élance un peu plus fort que la première fois. J’ai senti que celle qui nous observe a fait un sursaut. Le claquement du cuir était beaucoup plus fort. Je caresse doucement chacune de ses fesses tout en observant le changement de coloration de la peau et la chaleur qu’elles émettent. La première n’a rien mais la deuxième montre un léger rose apparaître.

Maintenant elle sait qu’on passe aux choses sérieuses! Je tiens la ceinture de ma main droite et le bout replié de ma gauche. Ma droite s’élance et relâche de la gauche. Le bout replié atterrit sur sa fesse gauche et faisant un vif claquement. Elle lança une complainte tel Sharapova quand elle frappe la balle. Elle flanche et replie ses genoux pour prendre une position quasi-fœtale qu’elle n’atteint pas parce que gênée par ses mains liées dans son dos. Je caresse la fesse pour dissiper la douleur vive reçue. Elle est toute chaude et porte une empreinte bien définie de l’impact.

L’observatrice était du bout de sa chaise. Je ne sais pas si elle est excitée ou choquée de la scène. Mais elle est libre de protester et de quitter en tout temps, mais elle ne le fait pas. J’en déduis qu’elle aime l’adrénaline que ça lui procure, un peu sous le choc de voir pour la première fois un tel acte devant elle. Un acte où personne fait confiance en une autre et accepte de se donner ainsi, quelle accepte que son corps soit offert à ses châtiments. Tout cela pour atteindre un état qui la mènera en transe, en extase et lui procurera au final du plaisir! Mais le concept est difficile à saisir quand tout ce que l’on voit est violence, douleur, cris et larmes.

Je reprends de la distance et décoche à nouveau un autre coup sur l’autre fesse. L’effet se fit plus intense. Elle se tortillait légèrement tout en pleurnichant, face contre le matelas. Je continue ainsi jusqu’à ce que la peau montre une belle rougeur. Je place ma main contre sa vulve et replie mon majeur pour le pousser dans sa fente.

– Ma petite chienne est mouillée!

Je veux tester ma spectatrice pour voir sa réaction. Car avant tout, c’est avec elle mais de façon indirect cette séance. Alors je grimpe à genoux sur le lit près de la tête, l’agrippe par les cheveux, la soulève pour la redresser sur ses genoux, lui renverse la tête légèrement vers l’arrière et je la gifle violemment au visage.

– C’est une punition! Pas une récompense petite pute! Tu n’es qu’une salope, une chienne en chaleur!

Je lui crache au visage avant de la relancer contre le lit avec ma main qui empoignait encore ses cheveux.

J’entends d’une oreille attentive que la respiration de notre spectatrice est plus tendue. Elle semble apprécier encore la scène malgré la tension ou l’inconfort face à ce spectacle tabou pour la plupart des gens.

Je descends du lit pour aller chercher une paire de pinces reliées par une chaînette dont je fixe le centre à l’anneau de son collier. Les chaînettes qui pendent de chaque côté ne sont pas assez long pour aller rejoindre ses mamelons. Je pince et tortille légèrement ses mamelons pour les faire dresser un peu plus puis je soulève son sein droit de par dessous, qui sont de bon volume, bonnet D, denses, fermes et lourds, pour amener le premier mamelon entre le bout ouvertes de la pince qui va se refermer sur lui. Elle grimace un peu lorsque la pression de mon instrument de torture dont les bouts de plastique sont un peu dentelées pour améliorer la prise pour ne pas qu’elles glissent. Puis je relâche le sein et le mamelon devient victime du poids du sein qui le fait tirer vers le haut. Je procède de la même manière pour l’autre mamelon. Elle ferme les yeux en se mordillant la lèvre. La vue de cette poitrine redressée par les pinces et les chaînes qui les soutiennent m’excite et stimulent mon imagination.

Je lui gifle de ma droite le sein gauche sur le côté pour le faire se balancer, ce qu’il fit comme un balancier, mamelon pendant au bout de la chaîne. Elle gémit du surplus de tension infligé. Les jambes lui en tremblaient. Aussitôt son sein gauche stabilisé je gifle le droit. Ensuite avec mes doigts comme des crochets, je tire au milieu de chaque chaîne pour tirer sur ses mamelons plus vers le haut et vers l’avant d’elle. Je maintiens la tension pendant 30 secondes, aussi bien dire une éternité! Dès les premières secondes elle se mit à lâcher un râlement suivi d’une « HA » puissant et long pour finalement se mettre à pleurer. Ses seins ont l’air de cônes de par la tension sur ses mamelons. Puis je relâche et les laisse prendre à nouveau de par le poids de sa poitrine. Malgré la douleur de départ, suite à ce qu’elle vient de subir, cet état semble être une position bien plus confortable!

Je place ensuite ma main sur sa vulve. Elle est détrempée. J’y mouille amplement mes doigts que j’apporte ensuite à ma bouche et je les lèche, un peu en angle pour que notre spectatrice puisse voir le luisant de sa mouille sur mes doigts et qu’elle me voit les déguster.

– Succulent! La meilleure mouille de salope qui soit!

Mon érection est bien difficile à camoufler à ce moment-là tellement mon membre est dure et pointe droit devant. La spectatrice ne peut que déduire le plaisir que cette torture m’a procuré.

J’agrippe à nouveau sa tignasse pour la projeté face au matelas, je la prends par les hanches pour lui tirer sur le bassin pour la forcer à se replacer sur ses genoux, cul bien dressé en l’air.

– J’ai envie de ma petite chienne!

Aussitôt placé derrière, sans usage de mes mains, mon dard bien pointé, j’appuie mon solide phallus entre ses lèvres détrempées. Elle gémit doucement, ses mains liées s’ouvrent toutes grandes. Elle attendait ce moment depuis un certain temps déjà. Le plaisir d’une queue bien dure en elle. Puis je pars le mouvement de façon modéré pour ensuite l’agripper par les hanches pour la prendre sauvagement. Elle gémit et grimace, elle monte en extase. Je me mets à lui asséner des coups de bassin à lui défoncer sa chatte, à m’enfoncer au plus profond d’elle. Ses poings se referment. Mon plaisir monte, je grogne en frappant de plus en plus fort et quand j’arrive au bord de mon plaisir, j’arrête et me retire subitement! Elle relève la tête comme pour voir qu’est-ce qui se passe et lâche un petit cri d’insatisfaction.

– Je sais que tu en veux plus! Parce que tu es une petite salope! Une chienne en chaleur qui ne pense qu’à son plaisir!

De pleine main je lui gifle la vulve qui convulse. La douleur sur sa chatte excitée la surprend, ce qui lui la fait ressentir son sang qui convulse encore plus fort et se referme les jambes ensemble le temps que la douleur se dissipe. Elle fait de petits sons de complainte qu’elle tente de retenir et étouffer face contre le matelas. J’entends derrière le voile comme un essoufflement retenu. Sa tension monte à elle aussi…

Je me lève du lit pour aller chercher la croix St-André qui est mobile sur un caisson, je l’installe tout juste devant le rideau. Pour l’acte final, notre spectatrice sera aux premières loges, malgré que sa demande était de faire comme si elle n’était pas là. Je me dirige vers le lit et j’agrippe ma petite chienne par sa crinière pour la relever et je lui ordonne de sortir du lit et de me suivre. Ce qu’elle fit en grimaçant un peu à cause de la prise que j’avais encore de ses cheveux. Je lui délie les mains tout en lui tenant fermement un des poignets pour lui fixer l’anneau de son bracelet au premier crochet de la croix. Aussitôt que ça fait clic, j’empoigne l’autre poignet avant qu’elle ne puisse réagir ou résister. Je fixe le crochet à l’anneau et je regarde ma petite chienne qui me dévisage! Je m’empresse ensuite à lui lier les chevilles.

Elle fait face à la croix et me fait dos à la spectatrice et à moi.

– Maintenant tu vas voir qui est le Maître ici! Petite insolente!

Je me rends au côté du mur et je prends une petite branche fine de bambou et un vibromasseur puissant déjà branché à la prise murale par un long fil. Je me place au côté d’elle et je lui décoche un bon coup avec la branche à en fendre l’air avant de claquer sur la peau. Elle cria sans pouvoir se retenir, prise par surprise.

– Qui est ton Maître petite insolente?

– Vous Maître. Murmura-t-elle.

Je lui décoche un autre bon coup tout aussi vif! Elle lâcha un autre grand cri.

– QUI EST TON MAÎTRE!

– C’EST VOUS MONSIEUR! QUE VOUS!

– Bien!

J’appose le bout rond du vibromasseur sur le bout postérieur de sa vulve pour être loin de son clitoris et me placer vis-à-vis l’antre de son vagin détrempé. Puis je l’active à vitesse moyenne. Elle ferme les yeux, les vibrations sont divins pour sa chatte excitée qui n’attendait qu’à être stimulée. Elle commence à gémir. Elle relève ses fesses pour me donner un meilleur accès, pour en avoir plus. Elle gémit de plus en plus, son plaisir qui était déjà bien entamé monte de plus en plus. Je la sens s’approcher de son orgasme. Elle n’est pas sur le bord mais je décide de couper le courant. Elle ouvre les yeux subitement et lance un grognement de protestation.

– Tu sauras que c’est ton Maître qui décide de quand et comment!

Je lui lance un autre coup de fouet de bambou sur les fesses qui commencent à être marquées rouge par les lignes d’impact de la fine branche de bambou. Elle cri avec retenue cette fois-ci.

– Tu n’es qu’une petite salope qui ne pense qu’à elle! Ton rôle est de me servir! Ton plaisir si tu en reçois, c’est parce que je jugerai que tu le mérites! Et tu le mérites si tu me sers à ma satisfaction! Alors qui dois-tu servir? À qui dois-tu penser en premier?

– Vous Maître! Dit-elle en sanglotant.

– JE N’AI PAS ENTENDU!

– VOUS MON BON MAÎTRE! JE DOIS VOUS OBÉIR ET VOUS SERVIR TEL QUE VOUS L’ENTENDEZ! JE SUIS À VOUS CORPS ET ÂME!

– Bien! Maintenant c’est de ton cul que je veux me servir…

Je mets une bonne quantité de lubrifiant dans ma main que j’appose dans la fente de ses belles fesses rondes et rougies. Puis je masse son anus avec un mouvement circulaire avant d’y pousser lentement mais sûrement à l’intérieur. Je persiste même si il y a résistance. Je m’amuse à glisser mon doigt jusqu’à la deuxième jointure. Puis j’y glisse un deuxième doigt. Je persiste le mouvement de va-et-vient jusqu’à ce que je ressente que son muscle lâcher prise et se dilate.

Je retire mes doigts pour ensuite appuyer mon gland contre son orifice. J’y fais couler un filet de lubrifiant supplémentaire jusqu’à ce qu’il soit complètement recouvert. Je frotte ensuite mon gland pour bien lubrifier son anus semi ouvert. Puis je pousse pour y entrer. Je ressens que son muscle entoure bien tout mon gland, il l’épouse avec la bonne tension, pas trop dur ni trop relâché. J’agrippe sa crinière pour lui faire pencher la tête vers l’arrière, je la tiens solidement pour faire sentir mon emprise pendant que je m’enfonce doucement en elle avec ma verge bandée dur de désir de la prendre comme une petite chienne. Elle lâche un râle qui exprime son inconfort mais elle la prend toute au complet. Ma main relâche ses cheveux pour la prendre à la gorge. Je me glisse doucement en elle pour qu’elle ressente ma chair envahir ses entrailles centimètre par centimètre. Son muscle qui encercle mon sexe qui l’empale se relâche, abandonne toute résistance, accepte le corps étranger qui l’envahit. Je sens sa respiration devenir de plus en plus profond, ses râles étouffés de ma main qui s’appuie sur son larynx. Mes doigts qui appuient sur ses jugulaires lui fait monter un peu la pression dans la tête.

– C’est bon dans ton cul, j’ai envie d’y déverser ma semence. Maintenant je veux te sentir jouir, te sentir contracter sur ma verge alors que tu es en extase, au moment que tu as tant envie, où tu es la plus salope et que tu es la plus vulnérable!

De mon autre main qui tient encore le vibromasseur, je le passe par-dessus le haut de sa cuisse et pose la boule vibrante sur le haut de sa chatte où se trouve son clitoris. Je l’actionne à la plus basse vibration. Son gémissement change de ton. Le plaisir se mêle à l’inconfort. Mais elle semble aimer le mélange des deux. Elle se lèche les lèvres, se les mordillent ensuite. Je suis aussi en train de monter en extase. Dans la fougue il me prend l’envie de lui mordiller une oreille. Ma main relâche sa gorge et rejoint son sein droit. Je le lui masse, le pétris. Je lui frotte les mamelons, il se dresse, je le lui pince et tire dessus de temps à autre.

La spectatrice a une bonne vue sur mes fesses qui se contractent à chaque poussée que je donne en elle. Elle elles augmentent d’intensité. Mes hanches s’entrechoquent avec la chair généreuse de ses fesses. Mon dard se durcit au maximum et s’impose dans ses entrailles. Elle gémit de plus en plus fort de plaisir. Je ne sais pas si c’est moi dans son cul ou bien si c’est le vibromasseur, ou bien une combinaison des deux qui lui donnent ce plaisir. Mais je sais que ces sons m’excitent au plus haut point. Et je crois que notre observatrice ne doit pas y être insensible non plus.

Je sens mon extase approcher, le sien aussi. Tout son corps se raidit comme si elle retient quelque chose. Même son anus se contracte fortement. Je ralenti la cadence pour mieux ressentir la contraction de son muscle autour de mon manche qui l’empale. Elle se laisse soudainement pendre de par ses mains attachées à la croix, penche sa tête vers l’avant, comme si perdant toute force. Et pousse un long cri. Le plus beau des cris. Celui où une femme s’abandonne au plaisir qu’elle reçoit durant l’orgasme. Et je la suis quelques secondes après elle et je me maintiens tout au fond de son orifice pour y gicler mon sperme en elle tout à la tenant fermement contre moi de mon bras qui l’entoure et qui tient son sein. Je laisse tomber le vibromasseur par terre et amène ma main sur sa vulve pour la caresser doucement pendant qu’elle se laisse encore porter par la vague. Je la caresse doucement et l’embrasse doucement dans le coup. Je me retire d’en elle et une bonne quantité de mon foutre sort en même temps pour faire un « ploc » en atterrissant par terre. Elle m’a bien servi, elle m’a procuré beaucoup de plaisir! Mais elle aussi dans le processus.

– Bonne petite chienne! Je lui dis en continuant à l’embrasser dans le cou.

Je lui détache d’abord les pieds, puis les mains et je la porte jusqu’au lit. C’est à ce moment que j’entends claquer la porte! Notre spectatrice a profité du moment où j’étais occupé à délier ma dévouée pour filer en douce. Ça m’arrange bien parce que de toute façon la suite est plus un processus intime. Je m’occupe de mettre de la lotion sur la peau meurtrie. Ensuite je la masse, la caresse et la cajole tout en lui disant combien elle a été une bonne soumise… Et que je l’aime.

par Maitrelatexmtl

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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